mardi 29 avril 2008

L'importance d'embrasser le garçon avant de monter dans un taxi avec lui

Ça doit absolument figurer sur la liste des règles de survie de toute femme célibataire! Je ne l'ai pas fait dernièrement et je me suis retrouvée dans une situation à la fois désagréable et désastreuse.

Vendredi soir de sortie entre amis pour souligner des départs. Nous sortons donc, en bons Montréalais branchés, dans un bar "in" du Plateau. Mes copines et moi y allons pour dire "Aurevoir" à nos amis mais aussi parce que nous avons entendu entre les branches que les mecs dans ce bar sont souvent mignons. Il n'est fallait pas plus pour convaincre 3 filles célibataires d'aller faire un tour.
Dans l'ensemble, la soirée a été cool. J'ai effectivement rencontré un jeune homme mignon et nous avons parlé une bonne partie de la soirée ensemble. Pour être honnête et me connaissant, je peux dire qu'il n'y avait pas de jeux de séduction entre nous. En tout cas, de mon côté, je n'étais pas en mode "chasse" et ce pour deux raisons. Premièrement, je suis toujours en grève (d'autres événements survenus au cours des deux dernières semaines me démontrent que j'ai raison de le demeurer). Deuxièmement, ma condition féminine mensuelle ne me permettait pas vraiment de faire des galipettes avec un parfait inconnu. Nous sommes tout de même parti ensemble du bar. Nous marchions vers St-Denis lorsqu'il m'a fait remarqué que je venais de rater mon bus de nuit. Pendant que je sacrais en me disant que j'étais trop fauchée pour prendre un taxi (Yé! 30 minutes à me geler les fesses sur le trottoir!), il me dit "J'ai une proposition à te faire et avec la face que tu fais, je crois que tu me vois venir". Effectivement, je le voyais venir. Alors je lui ai tout de suite mentionné ma condition, que si je l'accompagnais, nos activités consisteraient à s'embrasser et dormir. J'ai aussi cru bon de spécifier qu'il pouvait m'abandonner sur le coin de la rue, je ne lui en voudrais pas le moins du monde. Mais il m'a dit "Bin non voyons, c'est pas grave. Tu peux venir chez moi tout de même".
On venait à peine d'embarquer dans le taxi qu'il me tapait déjà sur les nerfs. Il avait cette espèce de prétention, de condescendance typique du gars qui a étudié à l'école privée. Arrivée à son appartement, on entre dans sa chambre et rapidement, il me retire mes vêtements et je fais de même pour lui. Le hic ultime c'est que le gars m'a fait la guerre de la pipe. Pour ceux qui ne le savent pas, la guerre de la pipe c'est lorsqu'on gars, trop impatient de recevoir ce qu'il croit être son dû, pousse sur la tête de la fille pour qu'elle descende plus bas et encore plus bas pour bien lui démontrer qu'il veut une fellation. Mais il y a une autre variante de la guerre et celle-là est vraiment terrible et je l'ai vécu. C'est lorsque le gars est à cheval au-dessus de la fille et qu'il monte. Lorsque je leur ai raconté, mes copines me disaient que j'aurais du crier, le frapper, l'engueuler, etc... Ce qui s'est passé, c'est que je n'en revenais tout simplement pas et que mon cerveau se répétait constamment "ça se peut pas que ce soit en train d'arriver!!!"

Enfin, je vais m'arrêter là parce que malheureusement, ça n'a pas été la fin de ma mésaventure qui s'est poursuivie le lendemain matin au réveil. Par la suite, j'étais dans l'autobus qui me ramenait chez moi et je riais tellement je n'en revenais pas de la grossièreté du jeune homme. Il ne m'a même pas raccompagné jusqu'à la porte de SON appartement lorsque je suis partie. Il est resté couché dans son lit.

Il est donc très important d'embrasser un mec avant de monter dans un taxi avec lui parce que l'on apprend beaucoup de chose sur une personne en l'embrassant. Si je l'avais fait, j'aurais sans doute découvert avant qu'il était (et est encore sans doute) un pauvre type qui ne pense qu'à lui et son plaisir en ignorant totalement sa partenaire.

Mesdames, retenez bien cette histoire et je souhaite que vous ne viviez jamais de situation semblables.
Messieurs, s'il vous plait, ne faites jamais de choses semblables. Si vous l'avez déjà fait, je vous prierais d'évoluer un brin.

lundi 14 avril 2008

Dimanche soir mémorable

Hier soir, je célébrais mes deux premières semaines de grève avec un gros sandwich, une bière et plein d'hommes en sueur! Non non, je n'étais pas dans un quelconque bar douteux. J'étais bien assise sur mon divan à regarder le troisième match de la série Canadiens-Bruins. Ô tristesse, nous avons perdu en prolongation. Ô joie, je suis tombée amoureuse ce soir-là! Le jeune homme n'a pas encore soufflé ses 21 bougies mais que voulez-vous, je lui voue désormais un culte (presque aussi intense que celui que je voue à Paul Houde et au meilleur guitariste québécois). Peut-être l'aurez-vous deviné, je suis «amoureuse» de Carey Price...

Bon trêve de plaisanteries. J'ai effectivement atteint le cap du 14 jours de grève et je suis assez fière de moi. Par contre, jeudi, je vais boire une bière avec un ami d'une amie (yes, I have a blind date... or sort of) avec qui je discute via internet depuis quelques temps. Histoire de se parler en personne et voir... voir je ne sais trop quoi en fait. L'Ex dit que j'ai un scab en moi. Je ne crois pas que le fait d'aller boire un verre avec un mec implique nécessairement que je mette un terme à la grève de la drague.
«Bienvenue dans Lalaland. S'il vous plait, veuillez présenter un passeport valide et bon séjour parmi nous!»
Je suis peut-être de retour dans Lalaland mais il me semble que, selon mon point de vue, il est possible d'aller boire une bière avec un gars (ou une fille, faites le switch selon votre orientation) sans que ça implique nécessairement qu'il va y avoir un jeu de séduction et peut-être plus. En fait, je ne sais pas vraiment ce que je veux en ce moment.

Cher Père Noël, j'aimerais avoir, d'ici Noël 2008:
- un stage
- une job d'été
- un/une coloc
- de bonnes notes à l'université
- de l'argent pour aller au FMEAT
- un copain qui répond aux caractéristiques inscrites sur la napkin collée sur mon frigo (même si je sais que les chances sont minces comme la couche d'ozone au dessus du Pôle Nord)

Est-ce que c'est trop demander?

vendredi 11 avril 2008

La grève...suivi

Dimanche, ça va faire 2 semaines...

Déprime printanière

Je sais pas si c'est à cause de la grève que nous avons eu à l'université. Ou si c'est mes 25 ans qui ne me font pas encore mais je suis déprimée. En maudit!

Depuis une semaine je réfléchis. En fait, je réfléchis depuis que mon ami m'a fait sa déclaration la semaine dernière. Pendant que nous essayions de mettre les choses au clair, j'ai eu une migraine de force mille. Pour comprendre ce que c'est, c'est simple: imaginer la douleur que vous ressentez lorsque vous avez une migraine et condensez le tout dans une durée de 3 minutes environ. C'est horrible! Pendant ce cours instant, je n'ai plus d'équilibre, je n'arrive plus à respirer et j'ai l'impression que mes yeux vont me sortir de la tête.

Vous auriez dû voir la tête de mon ami lorsque je me suis déboulifiée et qu'il a vu des larmes sur mes joues. Il m'a demandé si j'allais bien. Je me suis contentée de lui répondre ce que je n'avais jamais dit à personne et que je tentais de cacher à moi-même. Je lui ai dit que je ne voulais personne dans ma vie parce que des "crises" comme ça j'en ai. Pas souvent mais que quand j'en ai et que je suis avec quelqu'un, tout le monde à la même expression sur le visage. L'expression du gars qui veut se sauver le plus loin possible. Je me suis fais laissé tomber une fois; à un mois de mon opération. Je ne l'oublierai jamais. Après cette aventure, j'ai sorti avec un gars (qui est maintenant mon ex) qui me connaissait déjà avant que je sois malade, qui m'a connu pendant que j'étais malade et après toutes mes péripéties. Depuis notre rupture, je me rends compte que lorsque gars qui me plait m'aborde et semble intéressé, je ne peux m'empêcher de lui dire que j'ai eu une tumeur au cerveau. Je préfère le tester avant de m'attacher. Fuyez jeune homme avant qu'il ne soit trop tard!

Depuis une semaine je réfléchis. Je me questionne à savoir si un jour je vais rencontrer un gars qui va rester à mes côtés malgré les quelques désavantages que présente parfois mon état de santé. En attendant j'essaie d'éviter tout ce qui ressemble à un film ou une chanson d'amour. Présentement, si j'étais un câlinours, je m'appellerais Sarcasme Ultime.
Et cette session qui n'en fini pas...

mardi 8 avril 2008

Week-end mouvementé... partie 2

Tout ce qui se trouve dans la partie 1 n'est que le début du week-end!

Réveil samedi matin: environ 10h30
Levée du corps: 13h00 environ (après la visite-éclair de mon ancienne fréquentation venue récupérer des trucs)

Mi et moi nous faisons une beauté et décidons d'aller magasiner avant le rendez-vous au resto avec ma famille. Que de plaisir nous avons eu chez Simon's à chercher les vêtements les plus affreux du magasin (et croyez moi, il y en avait beaucoup!) et à chercher des sous-vêtements sexy. Mi a réussi un exploit incroyable: me faire acheter un nouveau rideau de douche pour remplacer celui qui tenait par charité chrétienne sur ma pôle de douche depuis trop longtemps.

Départ du Simon's: en retard pour l'heure de rendez-vous avec mes parents mais bon, deux filles qui magasinent et qui ont du fun, t'arrêtes pas ça. De plus, le retard est génétique dans ma famille...

Arrivée au resto: 17h45 (ah! c'est juste 15 minutes de retard!)
Bouffe très agréable avec quelques membres de ma famille et notre serveur et cute et on me lance des pointes pour que je lui refile mon numéro de téléphone. Certains croient qu'il me cruise. La question est de savoir s'il me trouve vraiment cute ou s'il veut plus de tips. J'opterais pour la deuxième option.
En plus que ce soit le premier vrai jour de printemps, l'autre chose magnifique à s'être produite le jour de ma fête: Victoire des Habs!

Arrivée au Campus: en retard pour finir de regarder la game ;)
Il ne s'est pas passé quelque chose de vraiment mémorable au bar en dehors du fait que j'ai bu beaucoup et que je me suis rendue compte, au toilette, que je ne fais pas mon âge. La raison: j'ai rencontré une jeune fille qui fêtait ses 19 ans et qui avait l'air un peu plus maganée que moi. Elle pleurait sa vie en disant qu'elle était vieille et m'a traité de vieille quand je lui ai dit mon âge. En sortant de la cabine, je me suis regardée dans le miroir et j'ai eu un semblant de révélation: je n'ai pas l'air d'avoir 25 ans. J'ai l'air plus jeune. Je me suis sentie soulagée et je suis sortie des toilettes pour poursuivre les festivités de mon quart de siècle.
Départ du bar: je ne me souviens plus.
Dans la rue, nous avons croisé un bassiste connu que je trouve très cute et je suis revenue sur mes pas (un peu trop tard... heureusement) avec la ferme intention de le rattraper et de l'embrasser avec comme excuse le fait que c'est mon anniversaire. Dieu existe sans doute parce que je ne l'ai pas retrouvé, je n'ai pu mettre mon plan machiavélique à exécution, je n'ai pas fait une folle de moi et je n'ai pas une plainte de harcèlement sexuel sur le dos.
Retour à la maison: je m'en souviens encore moins

Étonnement, j'ai réussi à aller au travail dimanche matin et à rester toute la journée. Je me suis tout de même couchée à 21h00 pour me réveiller lundi matin à 10h30.
Total d'heures de sommeil pour les nuits de vendredi et samedi: 10
Total d'heures de sommeil pour LA nuit de dimanche: 13
Avez-vous des questions?

Week-end mouvementé... partie 1

Le week-end a été assez intense en ce qui concerne les péripéties et les mondanités.
Étant le week-end de ma fête, ma meilleure amie Mi est arrivée à Montréal vendredi en milieu de soirée.
Arrivée de Mi chezs moi: environ 21h00
Après un bref arrêt chez moi (histoire de déposer sa valise, de se rafraichir un brin et de me donner mes cadeaux) nous nous sommes dirigées vers ce resto asiatique du Plateau que nous aimons tant (arrivée au resto: 22h15) pour ensuite se rendre dans un certain bar de St-Denis, tout près de Mont-Royal.
Arrivée au bar: 23h15 environ
J'avais prévenu Mi que "Waterloo" serait peut-être là et qu'étant donné qu'il n'avait pas rappelé (malgré qu'il aie promit de le faire) cette soirée allait être définitive et décisive.
Bilan de la soirée: des groupes punk-rock qui se produisent sur scène les uns après les autres, les seuls beaux gars intéressants étaient avec les bands et sont donc partis après les shows, je me fais draguer par une ancienne conquête et "Waterloo" m'évite et m'ignore.
Il m'évite et m'ignore tellement qu'il semble presque détenir une licence en technique d'oubli sélectif d'être humain. Il m'a dit un bref "salut" et ensuite plus rien. Comme si on avait pas failli baiser sur son lieu de travail la semaine précédente. Après le show, il a courtisé une autre fille (sous mes yeux) et ils sont partis en même temps mais pas ensemble.
Je m'explique: Étant donné qu'il a croisé mon regard au moment où il finissait de mettre sa tuque, il a dit un truc à la fille et s'est dirigé vers l'arrière du bar. La fille a continué de parler avec des gens et est finalement partie. Ma copine et moi on se dit que c'est peut-être une fausse alerte. Par contre, devant le non retour de "Waterloo", je comprends que le mec s'est tiré de la place en fuyant par la porte d'en arrière qui donne sur la ruelle!
Verdict: "Waterloo" est un de ces hommes qui, malgré leur début de la trentaine, fuit plutôt que de s'expliquer et joue les agaces. Pour quelles raisons? Je l'ignore et je ne cherche pas à comprendre. J'ai mieux à faire.
Au final de cette soirée au bar, mon ancienne conquête me dit que ce serait bien que je l'appelle un moment donné (je vais devoir écrire sur cette ancienne conquête et sa requête de me revoir), Mi et moi sommes allées nous goinfrer chez Rapido (mais vraiment trop) et avons utilisé à bon escient une napkin (pour dresser la liste des qualités que devrait avoir l'homme de ma vie. Je sens que je vais être encore célibataire longtemps!).
Retour à la maison: environ 5h30 du matin.
Nombre de contact supprimer de mon cellulaire: 1

vendredi 4 avril 2008

Naïveté

Selon la 2e signification du Larousse 2000:
Excès de crédulité. Être d'une grande naïveté.

Coupable. Totalement coupable d'être naïve. Ça frise la stupidité par moment je dois dire. Je suis de ces personnes qui habitent parfois dans Lalaland (merci Lauts, c'est toi la première que j'ai entendu dire cette expression et je l'adore) et qui croient que l'être humain est bon et honnête.

Donc, si je prends une situation au hasard dans mon sac intitulé "situations prises au hasard", je ressors celle que beaucoup de gens ont déjà vécu qui est l'amitié entre un gars et une fille. Je suis le genre de fille qui a des amis de gars. Par contre, si je commence à avoir des doutes sur la nature profonde des sentiments dudit gars à mon égard, je vais éclaircir la situation avec lui. Là où ça se corse, c'est que si le gars me répond que je n'ai pas à m'en faire et que nous ressentons tout deux que de l'amitié l'un pour l'autre, je vais le croire. Mes amies/is peuvent me dire que c'est impossible, que certains de ces gestes sont vraiment trop ambigus, moi je vis dans Lalaland. S'il m'a dit que ce n'est que de l'amitié, c'est forcément parce que ce n'est que de l'amitié. Jusqu'à ce que ledit ami me fasse une déclaration d'amour et que là je sois obligée de revenir dans le monde réel. Vous savez, celui où les gens mentent mais pas nécessairement pour être méchant?

Donc, naïve je suis. Naïve car je crois que l'amitié est possible entre un gars et une fille sans que jamais l'un ou l'autre n'est un désir physique pour l'autre. Je suis même assez naïve pour croire que l'amitié est possible entre ex. C'est pas peu dire. J'ai présentement une amitié avec mon ex et on s'entend bien (ce sujet risque sans doute de se retrouver dans un autre message de mon blog). Mais le détail qui tue, à propos de ma naïveté, c'est que malgré le fait que les preuves sont parfois accablantes à propos d'une personne, je lui laisse tout de même le bénéfice du doute jusqu'à ce que j'obtienne des explications.

Je suis peut-être idiote aux yeux de certains, trop optimiste aux yeux d'autres. Tout ce que je sais c'est qu'il y a peu de chose de plus moche que de douter des autres. Je préfère croire que l'Homme est bon. Au moins ça enlève pas le goût de continuer son chemin.

mardi 1 avril 2008

La grève...jour 1

Bon... ça part mal! Au cours de la première journée de grève, la vie m'a mise à l'épreuve et pas à peu près. Une copinette m'a dit que selon elle je vais tenir tout au plus une semaine tandis qu'une autre ne comprend pas pourquoi je n'ai pas abordé ce garçon si mignon qui était au bar ce soir. La raison: l'orgueil? la volonté? un peu des deux sans doute...

La grève...

La grève scolaire est à peine terminée que je décide de faire la grève... de la cruise. Je m'explique. Célibataire depuis le début du mois de novembre, j'ai bu et "fêté" ma rupture pendant environ un mois avant de me remettre à la "chasse".

Fille entreprenante qui n'aime pas attendre que les autres fassent ce qu'elle peut faire par elle même, je me suis donc remise à la drague. Tout allait bien jusqu'à il y a une semaine environ lorsque j'ai rencontré mon "Waterloo". Au cours des derniers mois, j'avais fait la connaissance de certains gars (certains que j'ai fréquenté) mais sans toutefois que ce soit très sérieux. Soudainement, un soir où je ne m'y attends pas, un soir où mes aptitudes sociales semblent s'être sauvées à Puerto Plata sans moi, je rencontre ce mec vraiment mignon et qui me fait rire. On s'embrasse ce soir là et on se dit que ce serait bien de se revoir. On s'est revu mais je me retrouve devant deux possibilités: Soit le timing est vraiment mauvais ou il me fait marcher comme on m'a rarement fait marcher.

Face au non-appel de la part de mon "Waterloo" j'ai donc décidé de me mettre en grève. Peut-être vous direz vous que ça me prend pas grand chose pour jeter la serviette. Ce à quoi je réponds que considérant le désinvestissement massif de la gent masculine en ce qui concerne le processus de la drague ainsi que les drôles de comportements adoptés afin de ne pas s'engager, je préfère être en grève de la cruise jusqu'à ce que la partie adversaire accepte d'entamer le dialogue.

Pour ceux qui pourrait croire que je suis une femme frustrée, il n'en est rien! Je suis juste un peu fâchée de la tournure des événements. En plus, je suis en fin de session alors je n'ai pas vraiment le temps de me concentrer sur les hommes. Par contre, mes copines et moi allons sans doute prendre des paris afin de déterminer selon nous combien de temps je vais être capable de tenir. Vous connaissez le proverbe qui dit "chassez le naturel et il revient au galop"?